Cette route mythique perchée dans la forêt tropicale offre d’imprenables vues sur le littoral.
Il nous faut 45 min pour atteindre le point de départ (Point B). En cours de route, le ciel devient menaçant. Une fine pluie (drizzle) nous souhaite la bienvenue sur la Hana Rd. Rien pour nous arrêter mais juste assez pour nous embêter. La température est imprévisible et changeante. Il y a de belles éclaircies, parfois des nuages et, de nouveau, du drizzle.

Il y a plus de 500 virages en épingles et plus d’une cinquantaine de passages à une seule voix. Il y a aussi des courbes aveugles où l’on doit klaxonner pour signaler sa présence. Or, notre klaxon fonctionne seulement quand le volant est droit (en d’autre mot, jamais). Notre puissant bolide émet alors un faible son ridicule. Heureusement, nous avons les nerfs solides!
Tout au long du parcours, il y a de minuscules espaces de stationnement. De là, nous pouvons emprunter des sentiers pour atteindre de nombreuses chutes ou admirer la végétation. C’est un immense terrain de jeu. Le problème c’est qu’il y a des touristes partout. Notre camion prend la place de 2 minis-cooper. Nous n’arrivons pas à stationner…


Il nous faut 45 min pour atteindre le point de départ (Point B). En cours de route, le ciel devient menaçant. Une fine pluie (drizzle) nous souhaite la bienvenue sur la Hana Rd. Rien pour nous arrêter mais juste assez pour nous embêter. La température est imprévisible et changeante. Il y a de belles éclaircies, parfois des nuages et, de nouveau, du drizzle.

Il y a plus de 500 virages en épingles et plus d’une cinquantaine de passages à une seule voix. Il y a aussi des courbes aveugles où l’on doit klaxonner pour signaler sa présence. Or, notre klaxon fonctionne seulement quand le volant est droit (en d’autre mot, jamais). Notre puissant bolide émet alors un faible son ridicule. Heureusement, nous avons les nerfs solides!

Cette route tout à fait magnifique mérite tous les qualificatifs qu’on lui attribue. Nous avons franchi à peine 10 km et sommes déjà convaincus d’y revenir. Malheureusement, il est difficile de prendre des photos montrant les virages en épingle. Nous n’avons pas le recul nécessaire et la végétation est si dense qu’on ne distingue pas la route dans les plans trop larges. J’espère que les séquences vidéos seront plus éloquentes.

Tout au long du parcours, il y a de minuscules espaces de stationnement. De là, nous pouvons emprunter des sentiers pour atteindre de nombreuses chutes ou admirer la végétation. C’est un immense terrain de jeu. Le problème c’est qu’il y a des touristes partout. Notre camion prend la place de 2 minis-cooper. Nous n’arrivons pas à stationner…


Nous faisons donc le trajet en entier et identifions sagement tous les points où nous arrêterons dès lendemain. Nous empruntons des routes secondaires nous menant au bas des falaises. Partout, la végétation prend le dessus sur la roche.
Nous faisons également une agréable randonnée le long d’une plage de sable noir.

L’eau fracasse les récifs de roches volcaniques. Comme répète mon paternel : C’est incroyable pareil la force de la mer…



L’eau fracasse les récifs de roches volcaniques. Comme répète mon paternel : C’est incroyable pareil la force de la mer…


Le village de Hana est petit et n’a d’autre intérêt que celui d’être au bout de la route (Point C). Le trip c’est de faire la route et non d’atteindre la destination. La noirceur tombe et il nous faut maintenant rentrer au bercail. Fort enthousiasmés, nous nous sentons d’attaque pour notre dernière journée à Maui, demain.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire